Dans un entretien pour l’hebdomadaire Le Point, Mario Vargas Llosa livre son regard sur la crise du coronavirus. Entre mise en garde et optimisme, un véritable bol d’air frais libéral.
Pour le Prix Nobel de littérature, le coronavirus enchante les ennemis de la liberté, car il offre un prétexte idéal à une extension de l’intervention de l’État dans nos vies privées. La liberté prend tout son sens une fois que nous l’avons perdue, rappelle le romancier.
« Les ennemis de la démocratie ne sont pas en dehors de la démocratie, ils sont à l’intérieur. » Mario Vargas Llosa.
Contrairement à Yuval Noah Harari, il ne croit pas en l’avènement d’une société de surveillance totalitaire. Le XXe siècle nous a enseigné que les pays libres sont mieux lotis pour faire face aux temps de crises.
Dans une chronique pour l’Opinion, Maxime Sbaihi était longuement revenu sur les lectures qui ont forgé le libéralisme de l’intellectuel péruvien.
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