Schumpeter et les robots : le cas de la France

Le 12 décembre 2017.

 

Le mythe de la fin du travail, avec son lot d’espoirs et d’inquiétudes, est aussi vieux que les ruptures technologiques. Dans cette nouvelle note pour GenerationLibre, Patrick Artus (chef économiste de Natixis) étudie l’impact de la robotisation en France et en tire une conclusion : la robotisation ne détruit pas l’emploi mais en change la structure.

 

L’analyse économique l’a démontré à plusieurs reprises : la France est prise au piège d’une production manufacturière de milieu de gamme à laquelle s’ajoute un coût du travail particulièrement élevé.

Mais alors que la robotisation est indispensable pour assurer une montée en gamme, nous continuons à prendre du retard par rapport aux pays de l’OCDE. Les discours anxiogènes sur l’effet négatif des robots sur l’emploi empêchent la France de prendre le chemin de la modernisation et d’engager une politique de robotisation ambitieuse et assumée.

Fidèle à la tradition schumpétérienne de la « destruction créatrice », GenerationLibre a voulu étudier plus précisément l’impact de la robotisation sur l’emploi et la croissance à long-terme.


Lire le rapport Schumpeter et les robots, le cas de la France en cliquant Ici

Oser le « Pacte Girondin »

Le 27 novembre 2017.

 

Lors du 100e Congrès de l’Association des Maires de France, Emmanuel Macron a proposé aux élus un « pacte girondin ». Pour donner sens à cette ambition, GenerationLibre propose de conférer aux collectivités leur autonomie fiscale.

 

Cette nouvelle publication intitulée, Oser le pacte girondin – pour une autonomie fiscale des collectivités territoriales, en explore les principes et les implications.


Lire le rapport Oser le « Pacte Girondin », pour une autonomie fiscale des collectivités territoriales en cliquant Ici

Pour une révolution normative !

 

Publiée le 16 juillet 2017.

 

Face à des normes sans cesse plus nombreuses, complexes et inopérantes, GenerationLibre propose une « révolution normative ». A cette fin, GenerationLibre ouvre un débat, sur la base d’une note de Jean-Ludovic Silicani, haut fonctionnaire, ancien commissaire à la Réforme de l’État.


Se fondant sur une approche nouvelle, cette note suggère de limiter le domaine de la loi à la formulation des principes fondamentaux issus de chacun des codes (travail, urbanisme, environnement, etc.) afin de réduire de 90% la quantité des dispositions législatives.

Cette proposition, ambitieuse et réaliste, permettrait ainsi d’assouplir les règles, de décentraliser le pouvoir normatif et  surtout, de privilégier « l’esprit des lois ».


Lire le rapport Pour une révolution normative, sortir de l’enfer réglementaire en cliquant Ici

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