Taxe GAFA : le dangereux unilatéralisme français

Maxime Sbaihi était l’invité de 28 minutes sur Arte pour commenter l’actualité, notamment dans le contexte des menaces de Donald Trump sur le vin français en réponse à la taxe GAFA décidée par la France.

 

Regrettant le fait que la France court-circuite l’OCDE qui réfléchit au niveau mondial à une évolution de la taxation des multinationales, Maxime souligne que la taxe sur le chiffre d’affaires des GAFA décidée par le gouvernement français est naïve et inefficace.

Pour répondre au réel problème, qui est celui du contrôle de nos données personnelles, et pour favoriser la concurrence entre les acteurs économiques, il faut plutôt s’atteler à mettre en place un nouveau modèle juridique : la propriété privée des données personnelles.

A la suite d’un premier rapport, « Mes data sont à moi », publié en janvier 2018, notre think-tank publiera un second rapport sur le sujet. Affaire à suivre en septembre.


Pour voir un extrait de l’émission, cliquer ICI.

Pour lire notre rapport « Mes data sont à moi », cliquer ICI.

Le CETA renforce le pouvoir du consommateur

Notre expert Hervé Guyader était l’invité de l’émission Ca vous regarde sur LCP pour défendre le CETA, l’accord commercial entre le Canada et l’Union européenne qui vient d’être ratifié par la France. Un traité qui permet de multiplier les échanges dans tous les domaines, ainsi que de renforcer le pouvoir des consommateurs.

 

En 2017, Hervé Guyader, avocat au barreau de Paris et président du Comité français pour le Droit du commerce, avait déposé un mémoire pour notre think-tank devant le Conseil constitutionnel afin de défendre la constitutionnalité du traité (lire ICI).

Sur LCP, Hervé Guyader rappelle un principe simple du droit du commerce international, auquel se conforme le CETA : vous devez respecter les normes sanitaires des pays dans lesquels vous exportez. Ainsi, lorsqu’en 2013, le Brésil a produit du boeuf pollué, pas un seul morceau n’est arrivé sur le sol européen.

Les accords de libre-échange permettent d’organiser davantage de contrôles que ce que ne prévoit l’OMC. Contrairement à ce que l’on lit beaucoup, ce sont des accords qui introduisent de la régulation dans les échanges. Ils autorisent d’ailleurs des coopérations très différentes. A titre d’exemple, le chapitre 11 du CETA permet la mutuelle reconnaissance des diplômes entre les pays européens et le Canada.

Enfin, Hervé Guayder souligne que les exigences en terme de traçabilité permettent a fortiori au consommateur de choisir ce qu’il veut acheter.


Pour lire la récente tribune d’Hervé Guyader « L’accord avec le Mercosur remet l’Europe et ses normes au centre du monde » cliquer ICI.

Le point de vue de Mathilde sur l’actualité

Mathilde Broquet-Courboillet était l’invitée de Points de Vue (FigaroLive) pour commenter l’actualité : copies du bac, élections en Grèce, migrants, foot féminin.


Pour revoir l’émission, cliquer ICI.

Le regard de Maxime sur l’actualité européenne

Maxime Sbaihi était l’invité de La semaine de l’éco sur France24 pour commenter l’actualité européenne.

 

Au menu : signature du traité de libre-échange entre le MERCOSUR et l’UE, nomination des hauts postes européens, protection de l’environnement et mondialisation.


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La mondialisation contre la pauvreté

Maxime Sbaihi était l’invité de 28 minutes sur Arte pour commenter l’actualité autour de la signature du traité de libre échange entre le MERCOSUR et l’UE. 

 

S’il y a bien quelques perdants sur quelques secteurs, Maxime souligne qu’on omettait généralement de mentionner tous les gagnants de tels traités à l’instar de certains petits vignerons français.

Face aux critiques faciles, Maxime rappelle que ces traités sont tout à fait démocratiques, a fortiori dans la mesure où les parlements nationaux des Etats membres doivent ratifier l’accord.

Maxime insiste pour dire que le consommateur reste le seul décideur, in fine, de ce qu’il consomme. A cet égard, la seule question valable, c’est l’éventail du choix, la traçabilité des produits, l’information du consommateur : ce que permet d’améliorer ces accords.

Enfin, il nous invite à ne pas oublier que la mondialisation a permis à 1 milliard de personnes de quitter la pauvreté au cours des trente dernières années, et que la lutte contre la pauvreté n’entre pas en contradiction avec la nécessité de répondre aux enjeux environnementaux.


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Le regard de Maxime sur l’économie

Maxime Sbaihi était l’invité des Experts sur BFM Business pour commenter l’actualité économique.

 

Maxime était aux côtés d’Emmanuel Combe, auteur de plusieurs rapports publiés par notre think-tank pour dénoncer le protectionnisme.

Au menu des échanges, : les effets retard des gilets jaunes sur le commerce, les réformes des retraites et de l’assurance-chômage, le bonus-malus pour l’emploi des plus de 55 ans, les euro-bonds et l’avenir de l’OMC.


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Pour relire notre rapport « Le protectionnisme intelligent est une imposture », cliquer ICI.

Brexit, Burkini, Sarkozy, Ordre des journalistes : le point de vue de Maxime

Maxime Sbaihi était l’invité de Points de Vue (FigaroLive) pour commenter l’actualité.


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Pour lire notre rapport en faveur de la liberté d’expression, cliquer ICI.

Europe : le regard de Maxime

Maxime Sbaihi était l’invité de 28 minutes sur Arte pour commenter l’actualité dans le cadre des élections européennes : croissance économique, marché unique, travailleurs détachés et SMIC européen


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Pour lire notre recueil « Europa : dépasser le nationalisme », cliquer ICI.

Le regard européen de Maxime sur BFM Business

Maxime Sbaihi était l’invité des Experts sur BFM Business pour commenter l’actualité économique : chiffres du chômage, évolution de la croissance, dette, fonds pour l’innovation.

 

L’occasion, aussi, de présenter notre recueil « Europa : dépasser le nationalisme ».


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Pour lire notre recueil « Europa : dépasser le nationalisme », cliquer ICI.

Gaspard Koenig x Bernard Friot : revenu universel ou salaire à vie ?

Invité de l’émission « Interdit d’interdire » animée par Frédéric Taddéi, Gaspard Koenig a débattu de la notion de travail face à un monstre sacré du marxisme, Bernard Friot. Une très belle émission.

 

Au « salaire à vie » défendu par Bernard Friot, dont le financement est difficilement compréhensible et les objectifs égalitaires très contestables, Gaspard Koenig oppose le revenu universel de notre think-tank. Une proposition de réforme réaliste, à finances publiques constantes, et destinée à la fois à lutter contre la pauvreté et à favoriser une autonomie dans les choix individuels.

Pour Gaspard, la révolution des robots et de l’IA va chambouler le travail, sans la faire disparaître pour autant, et il est plus que temps de faire que chacun devienne « l’entreprise de lui-même » pour disposer de son propre capital.


Pour revoir l’émission complète, cliquer ICI.

Pour lire notre rapport en faveur d’un revenu universel réaliste, cliquer ICI.

Pour lire notre rapport « Travailler demain », cliquer ICI.

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